Auteur : Annette Curtis Klause
Titre : La solitude du buveur de sang
Année de 1ère parution française : 1999
À propos de mon livre :
Editions : Pocket (Jeunesse)
Année de parution : 1999
Pages : 213

 

Mon avis : Un peu déçue.. J'ai trouvé l'histoire un peu vide & peu crédible sur certains points. Il manque quelque chose mais je ne saurai dire quoi. Tout se passe très vite sans qu'on ait le temps d'y voir venir, c'est un bon point mais d'un côté, j'ai eu l'impression de passer à côté de certaines choses qui aurait pu être importantes. Je ne sais pas du tout ce qu'il manque, peut-être que je n'ai juste pas trouver mon intérêt, peut-être que ça ne vient que de moi. J'ai fermé le livre en me disant :"C'est tout ?" Peu concluant..

Zoé se retrouve seule, rejetée involontairement par son entourage proche car sa mère est à l'hôpital, très malade, son père est toujours vers elle & sa meilleure amie, Lorraine va déménager. Simon est seul lui aussi, puisque ce qu'il est devenu ne lui permet pas vraiment d'avoir de relations quelconques. Voilà comment Zoé & Simon finissent par se rapprocher & finalement s'unir. Mais un problème persiste : Christopher, qu'il faut absolument arrêter pour qu'il ne puisse plus faire de mal à personne.

Ce que j'ai beaucoup apprécier, c'est la détermination de Zoé, surtout, à faire face à la mort. Elle est dans une passe terrible & fera tout ce qu'elle pourra pour déjouer le mal. Elle fait preuve d'un grand courage & finalement, à travers Simon & son histoire, va se remettre en question & accepter le sort lié à sa mère.

Ce que je n'ai pas trouvé très crédible est la façon dont elle a accepté que Simon soit un vampire, elle n'était ni étonnée, ni choquée, rien. Elle l'a cru sur parole, a eu vite confiance en lui & s'est littéralement jeté dans ses bras.. C'est aller trop vite à mon goût. Par contre, l'histoire de Simon, son enfance jusqu'à sa phase de transformation était très prenante, j'ai été scotchée au moins autant que Zoé.. L'histoire n'est pas mauvaise, j'ai quand même apprécié la lecture mais il y a ce petit quelque chose qui manque..